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Mon sang bouillonna sous ma peau, incendia ma bouche.Mon souffle devint heurté et erratique. Mes doigts aggripèrents ses cheveux, collant sa tête contre la mienne. Mes lèvres s'ouvrirent et j'inhalai à fond son odeur capiteuse. Aussitôt, elle s'arreta. Ses mains douces mais fermes, me repoussèrent. Rouvrant les yeux, elle me disa je te veux a mes coter, et je compris.


Création : 29/08/2009 à 13:45 Mise à jour : 22/04/2016 à 08:37

BIENVENUE SUR DIMMAK-PURPLE.SKAY"

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#Posté le mercredi 09 juin 2010 18:15

Modifié le dimanche 12 février 2012 16:28

# Article Cinquante-Deux. (52)

# Article Cinquante-Deux. (52)

Si tu savais comme j'ai pu aimer celle que tu as été... [Partie 1/3] [...]



Tu trouveras ma dépouille devant ta porte, à tes pieds. Ne sois pas surprise, ton monde et le mien ne sont plus les mêmes, mais je t'accorde que fut un temps, c'était le cas, fut un temps, nous nous aimions. Je n'ai quasiment plus de sentiment, je ne te courrai plus après, mais le fait est que tu restes la dernière femme que j'ai aimé, la dernière pour qui pendant un temps j'aurai été prêt à tout. Alors oui, si je venais à mourir ma dépouille t'attendrai devant ta porte, je veux savourer chaque larmes qui s'écoulera de ton visage. Je veux que mon sang s'imbibe dans ta mémoire, afin que jusqu'au dernier de tes jours tu vives avec l'image de mon cadavre grands yeux ouverts, t'admirant. La rage que j'éprouve envers se que tu es devenue, envers se changement que tu as subit, est si grande, si forte, qu'elle domine complètement mon raisonnement, en influent sur mes choix. Je ne veux pas en savoir plus sur ta nouvelle vie, sur la façon dont tu as négligée ton corps et ton esprit, en ne cherchant plus que des relations sexuelles, sans sentiments, juste pour le "Sport". Plus que ton corps, c'est tes principes que tu as bafouée, car auparavant, tu te disais sélectivement amoureuse, que tu ne voulais pas n'importe qui, que le physique et le mental était important, mais qu'il fallait avant tout que tu ressentes une étincelle, quelque chose de plus, quelque chose qui rende ta relation plus belle que les autres, et maintenant tu oses parler de donner ton corps par plaisir, de te trouver un sex-friend... Tu me dégoutes, tu me répugnes, je te hais, du plus profond de mon être, je hais ce que tu es devenue. Ne remet ni ce choix, ni toutes ces décisions hâtives que tu as prises sur le dos des autres. Tu es seule à faire tes choix, tu es la seule à avoir décider de la façon dont tu à tournée.

Monday, the 13th of February 2012.
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#Posté le lundi 13 février 2012 17:20

# Article Cinquante-et-Un. (51)

# Article Cinquante-et-Un. (51)
Seul Face à moi-même, Impossible de Lutter.. [...]



Les Carnets d'un Idiot, les miens.





02/03/2010 :



Je suis étourdit par le choc. Sa y est, j'y suis. J'ai réussi à l'avoir à mes côtés. Pendant ces trois dernières années, j'en ai rêvé. Être amoureux à ce point en étant persuadé que je n'avais aucune chance étais un véritable calvers Mais j'y suis, Hallelujah ! Je n'ai jamais étais si heureux. Je l'aime à la folie, je ne veux plus voir par les yeux d'une autre, les siens me suffisent. Mon c½ur à battu la chamade toute la journée, c'étais déjà le cas en temps normal, mais la je sentais le sien battre à l'unisson quand nous étions l'un contre l'autre. Ma vie peut se finir, je mourrais heureux.



Je crois que je l'aime autant que j'ai pu aimer Natacha.

Je suis allez la voir l'autre jour, pour remplacer les fleurs de la dernière fois. Ça m'a fait du bien de lui parler, de lui expliquer que j'ai trouvé celle qui me faut, que s'est une fille bien, mais que je ne peux toujours pas l'oublier pour autant, que je passerai toujours la voir, une fois par mois, et que je sentais que de là-haut, elle était heureuse pour moi.

Je sais qu'elle préfère me voir ainsi, le sourire aux lèvres.



Je ferai tout pour que cette nouvelle relation ne se termine jamais. J'ai besoin d'elle, je ne me lasse pas de l'écouter, de l'embrasser, je savoure chaque instant à ses côtés. Je n'arrive même pas encore à réaliser... Je n'ai jamais ressenti autant de joie. J'ai atteint apogée de ma vie, je ne sais plus quoi dire, je ne sais plus quoi penser, je suis au paradis, les anges eux même doivent être jaloux de moi.





02/05/2010 :



Sa fais deux mois aujourd'hui. Je ne sais pas comment l'expliquer ; peut-être es-ce dû au fait que durant les trois dernières années j'en ai rêvé, mais une chose est sur, je ne serais absolument pas capable de vivre sans elle. Le simple fais de la savoir malade me retourne le cerveau, m'enferme dans un cercle vicieux entre amour & inquiétude.

S'il devait lui arriver quoique se soit, comment réagirai-je ? Je me suis posé cette question hier soir, je n'ai pas pu en dormir. Après le décès de Natacha, je me suis enfermé sur moi-même, durant deux long mois. J'ai été suivi par un psychologue, j'ai passé de longues après-midi à pleurer en l'écoutant me lire les articles de journaux décrivant sa mort. Au bout de ces deux mois, je l'ai frappé, il m'a félicité, et je me suis mis à répéter à tue-tête tel un schizophrène « Je suis désolé, j'aurai dû être là.. », en déversant toutes les larmes de mon corps. Le troisième et le dernier mois de psychothérapie, on me fit comprendre que je n'étais pas responsable, et même si ces explications paraissaient justes, je me sentais et j'avoue me sentir encore en partie coupable de se qui lui est arrivé, car après tout, si j'avais été là, elle serai parti chez mon meilleur ami de l'époque avec moi et n'aurai jamais croisé la route de ce trente-huit tonnes.

C'est pour ça que j'ai peur, de plus en plus peur, car je me suis bien plus attaché à elle en deux mois qu'avec Natacha en 2 ans. Survivrai-je s'il lui arrivait quelque chose ? Cette psychose devient de plus en plus importante dans mon esprit. J'ai tenté de me rassurer, sans actuel succès. Je suis plus en froid avec Elle, involontairement, parce-que je n'ai pas envie de la perdre, et que ça me gène de lui parler de ça. Je sais déjà ce qu'elle me répondra : « Ne t'inquiètes pas, je serai toujours là », mais avec le temps j'ai compris que le destin est farceur. La faucheuse décide seule de sa cible, que celle-ci le veuille où non, qu'elle l'ai méritée où non. Tout à l'heure encore elle était contre moi, je la serrais si fort, je voulais qu'elle fasse parti de moi, que plus jamais elle ne puisse me quitter. « La peur est la plus grande faiblesse de l'homme » ; Je l'aime, mais j'ai si peur...



27/05/2010



Elle m'a envoyé un message, le pire de tous. Je suis totalement perdu. Son message m'expliquait qu'elle avait ressenti cet énorme malaise qui flotte entre nous, et qu'elle voulait savoir quoi faire. J'ai perdu mon sang-froid, la peur a pris le pouvoir dans mon esprit ; pour éviter la souffrance que j'ai déjà connu précédemment avec Natacha, j'ai préféré que notre relation s'arrête là. Il me fallait souffrir en silence pour qu'elle puisse être heureuse sans que je souffre. Je ne suis pas vraiment sûr que ce soit la meilleure solution, je souffre déjà, et je l'ai fais souffrir aussi... je ne sais pas quoi faire. Ma tête me dis : « Tiens le coup, se sera mieux pour elle sur le long terme » ; mon c½ur me dit : « Envoi lui vite un message, dis lui que tu t'excuse, et si elle ne veut pas répondre, alors cours jusqu'à chez elle, ce n'est pas la porte à côté, mais ce n'est pas n'importe qui, c'est LA fille. »

Je ne sais plus quoi faire, au secours ! j'ai tellement besoin d'elle c'est celle que j'ai toujours voulu, c'est la femme de ma vie, la seule dont j'ai besoin, celle dont j'ai toujours voulu, la femme de me vie, la seule qui m'apporte le bonheur dont j'ai besoin, celle dont j'ai toujours rêvé qu'un jour elle me tienne la main, nos familles réuni autour de nous, elle vêtu d'une majestueuse robe blanche, et moi d'un costume noir à chemise blanche, celle dont j'ai rêvé qu'un jour elle porterait mes enfants, celle à côtés de qui j'aurai voulu me réveiller à ses côtés matin après matin et penser alors par fierté : « C'est ma femme. »



16/06/2010




Je me suis enfermé chez moi, ça fait deux semaines déjà. Les paquets de cigarettes que j'avais délaissés il y a 3 ans de ça, avant d'être dans sa classe, sont réapparus chez moi et ne dure même pas la journée. Je me suis puni moi-même en quelque sorte. Je n'ai pas le courage de me couper les veines alors je me suicide d'une manière plus lente, et chère. Le mois risque de passer très lentement, je ne parle à personne, je passe mes journées à pleurer et à fumer devant mon écran d'ordinateur. J'ai retrouvé une vidéo d'elle et moi en train de rigoler avant que nous ne sortions ensemble dans la cuisine de son ancien appartement. Maintenant, en regardant ces images, je ne peux m'empêcher de fondre en larme et de m'allumer une cigarette. Je n'ai plus de nouvelle d'elle. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle m'en donne, après ce que j'ai pu dire, faire, ou même ne pas faire... Mais j'aurai tellement aimé avoir le courage de lui demander pardon. En l'espace de deux semaines j'ai réduit ma vie quotidienne à néant. Je n'ose plus voir mes amis, j'ai honte de moi, et je n'ai pas envie de me montrer dans mon état actuel, je préfère que mes amis pense « pas de nouvelles, bonne nouvelle. », le fait de me voir détruit comme je le suis actuellement ne ferai que créer de la pitié et de la compassion, deux choses que je déteste du plus profond de moi-même.



21/07/2010



Sa y est, je ressors. La situation c'est débloqué récemment, à l'anniversaire d'une amie. Au début, j'étais très renfermé sur moi-même, mais l'alcool à délier le problème. L'alcool ma fait oublier pendant un moment, je ne pensais plus à elle, je me changeais les idées. Du coup, j'ai commencé à enchainer les soirées, à siphonner des litres et des litres. Je me suis mis dans des états pitoyables, j'ai frôlé le coma, mais plus j'enchainer les verres, plus il m'en fallait pour oublier. J'ai fais de Jack Daniels mon meilleur ami. Au bout de quelques jours, j'ai réalisé que je buvais trop et j'ai pris pour décisions de ralentir la cadences et d'affronter mes maux ; une seule erreur ça me va, je souffre déjà assez comme ça.



Pour calmer ma douleur j'ai trouvé une nouvelle manière : j'écris. J'écris tout ce que j'ai dans ma tête. Je passe ma journée à écrire de longs, voir très longs textes. A l'époque, je n'écrivais que de courts poèmes, mais là je crois que l'on peu clairement dire que j'ai fait « Level up ».



07/08/2010



Il est 7h06, je fête aujourd'hui mes 18 ans. Cette journée est sensé être inoubliable, au lieu de ça, je suis encore une fois debout après deux heures de sommeil, en train d'écrire pour me changer les idées. Cela me perturbe depuis perturbe depuis quelques semaines déjà : elle ne sera pas là. J'ai toujours imaginé qu'elle serait là pour mes 18 ans, qu'elle ferait parti des invités les plus importants de la soirée. Elle n'y sera pas. D'ailleurs, rien ne dis qu'elle aurait était là si nous étions encore ensemble, car elle devait partir travailler durant les vacances. Ça ne m'empêche pas quand je vais travailler (car j'ai décroché un emploi saisonnier non-loin de chez elle), de regarder partout autour, dans l'espoir de pouvoir peut-être la croiser, sans réussite à ce jour.



Les larmes coulent sur ma feuille, un partie de l'encre de mon stylo à couler, mais je m'en fiche, je vais continuer d'écrire, parce-que je suis au plus mal, et que ça risquerait de gâcher une très belle soirée. Me vider la tête est donc nécessaire.



18/10/2010



Je me suis inscrit au code il y a un mois de ça. J'y ai retrouvé un ami que je n'avais pas revu depuis deux-trois ans. Il m'a fait découvrir un autre moyen d'effacer momentanément la peine, d'autre type de cigarettes. Elles me calment, mon cerveau se focalise sur une idée donnée, ainsi j'arrive à, durant le temps où cela fait effet, l'oublier. Mais le souci est toujours le même. Le soir venu, son visage se met à tourner dans mes pensées, mon estomac se serrent, les larmes glissent le long de mon visage avant de s'écrouler sur mon torse. Plus le temps passe, plus je me sens mal, en plus, il me semble avoir entendu dire qu'elle s'était remise en couple avec un autre. Ça me fait mal, mais je ne peux pas lui en vouloir, je suis quand même heureux pour elle, je préfère la savoir le sourire aux lèvres qu'agonisant comme moi. Ce qui explique aussi pourquoi je ne veux pas qu'elle sache comment je vais, qu'elle ai des détails sur mon état mental, sur le fait que je fume, de tout... Je ne veux déjà pas que mes amies aient de la peine pour moi, de la compassion, de la pitié, mais je veux encore moins qu'elle en ai, je ne veux pas l'inquiéter, quitte à ce que je souffre, autant que je souffre seul, je n'ai pas à l'emporter dans ma Chute. Lui faire partager ma souffrance ne fera qu'agrandir la haine qu'elle ressent pour moi à ce jour.



25/01/2011



Voilà, le jour où je vais le plus souffrir de l'année. C'est son anniversaire. Je me demande si de son côté elle ressent le même gène que j'ai ressenti à mon anniversaire du fait de son absence, mais sincèrement, je ne pense pas. Elle a dû m'oublier, cela fait un moment maintenant qu'elle est avec lui... je viens de réaliser avec stupeur que sa vie m'importait plus que la mienne, il s'agit d'une véritable obsession.

J'ai pensé qu'avec le temps la douleur disparaitrai, que j'arriverai à l'oublier, mais c'est impossible, clairement impossible. Plus le temps passe et plus la folie prend de l'ampleur dans mon cerveau, qui lui-même se nourrit de cette folie. Je me suis enfermé seul dans la pénombre d'une psychologie perturbée par l'amour que je ressens pour elle, plus le temps passe plus j'écris, je me confie inutilement à mon carnet qui ne comprend absolument aucun mot de se que je lui dis, mais qui m'écoute et se souvient de tout. L'autre jour j'ai étais surpris par le fait qu'à force d'écrire j'avais réussi à faire saigner mon index, maintenant c'est presque quotidien. A me voir écrire ainsi durant de longues heures j'ai tendance à me prendre pour un fou. Les gens ne me comprennent pas mais je ne me comprends même pas moi-même. J'ai perdu mon identité, ce qui faisait que j'étais moi. Ma bonne humeur, mes fous rires, mon grain de folie, mon assiduité... tout cela est partie en lambeaux remplacés par la peur constantes de commettre d'autres erreurs irréversibles, un besoin de tenir un stylo en permanence, d'écrire lignes et lignes durant de longues heures, à écouter mes parents me dire que je devrait sortir plutôt que de rentrer et de m'enfermer dans ma chambre pour y écrire frénétiquement, jours après jours...



Ma professeur de Français, inquiète, m'a demandé, il y a quelques semaines de cela, pourquoi j'écrivais ainsi, pourquoi ma main écrivait en permanence, et pourquoi, du coup, je ne suis plus ses cours. Je lui ai répondu que je ne savais pas pourquoi je prenais encore la peine de venir au lycée, que mes journées de cours ou de week-end sont les mêmes. Je passais ma journées à user mon carnet et mon stylo en écrivant toutes les souffrances que je ressens, la haine que j'ai envers moi-même, envers mes décisions, et les différentes manières que j'ai de mettre fin à mes jours sans souffrir, car ma vie sans Elle ne veut rien, que je l'ai toujours su, et que je suis le seul responsable de mon autodestruction mentale. Bizarrement, elle n'a pas su quoi répondre.



08/02/2011



Je suis allé voir Natacha aujourd'hui. Sa faisait presque un an que je n'y étais pas allé. Je lui ai tout raconté. Je suis resté de logues heures à lui parler. Je lui ai décrit ma douleur, le sentiment de honte constant que je ressentais depuis que je l'ai quittée.

Je n'ai jamais eût autant l'impression qu'elle m'écoutait. Ça peut paraître stupide, mais je me sentais entouré, je n'avais pas l'habituel sentiment de solitude que je ressentais quant je venais la voir. J'ai senti que de là-haut elle ressentait que les mots ne pourraient suffirent pour exprimer ma douleur. Elle a trouvée quelqu'un d'autre, Elle m'a oublié. Je ne peux pas en aimer une autre, malgré quelques tentatives les sentiments ne sont jamais arrivés.

Je n'ai plus que deux possibilités : Soit vivre seul jusqu'à se que la mort me prennent, soit prendre la mort à son jeu et en finir par moi-même. Je crois que le simple fait de vivre sans elle sera en soi un suicide, mon organisme la demande, elle a enfermé mon âme en elle... Le truc c'est que mon âme, je ne veux pas la récupérer, elle lui appartient, elle lui va mieux qu'à moi, elle est bien mieux ainsi.



02/03/2011



Aujourd'hui sa ne va pas, pas mieux qu'hier, ou le mois dernier. Mes ongles commencent à se décollés à force que j'écrive. J'aimerai tellement avoir le courage d'en finir pour ne plus qu'elle ai à se soucier de moi. D'ailleurs, un ami m'a fait douter sur ma détermination. Il m'a demandé se que je ressentirai de là-haut si je voyais qu'elle souffre de mon absence, qu'elle ne voulait pas que ça parte si loin. Le simple fait de savoir que j'ai pu lui faire mal à nouveau, psychologiquement parlant, me détruirais complètement. Mes amis n'on plus envie de lutter pour moi. Ils ont abandonnés l'idée de me faire changer d'avis, remettent mon existence entre les mains d'un dieu dont j'ai tendances à de plus en plus soupçonner d'être inexistant. Les flots s'échappent de mes yeux, passent inaperçus parmi la pluie battante. Je marche le long de la route, le visage baissé, souffrant du froid, la pluie s'acharnant sur moi, chaque voiture qui passe à côté de moi semble m'envoyer une demande : « Saute Anthony, Saute ! »



27/05/2011



Ça fait un an aujourd'hui. Un an que j'ai ruiné ma vie. Un an que je me torture l'esprit, je ne suis plus rien à ses yeux, elle m'a dit de l'oublier une bonne fois pour toute, qu'elle est fiancée, heureuse, et qu'elle voulait que j'arrête de constamment ressasser le passé. Facile à dire quant tu meurs à petit feu ...

Je me sens plus faible de jours en jours. Je l'aime, je l'aime comme je n'ai jamais aimé auparavant. J'ai besoin de passer à nouveau ma main dans ses cheveux, de dormir contre elle, de sentir son parfum et de me laisser enivrer, de profiter à nouveau des journées à ses côtés, de n'appartenir qu'à elle, de ne vivre que pour elle, ou plutôt qu'elle ne vit que pour moi. Chaque jours la même difficulté, chaque jours je me haïe un peu plus. Je ne me supporte plus, dans le sens où JE suis le seul responsable de ce qui m'arrive, JE suis responsable de ma peine, de mon isolement, de ma rage, de mes larmes, mais surtout des siennes.



Aujourd'hui je suis perdu, perdu car tu ne veux plus entendre parler de moi, perdu parce-que ma vie se résume à toi. Je suis désolé, j'ai l'impression d'être un fardeau à tes yeux, un Ex compliqué et entêté. Peut-être que si je veux vivre heureux, il me faut faire semblant d'être heureux, il me faut faire semblant d'en aimer une autre, il me faut simuler des sentiments, il me faut intérioriser mon besoin de toi. Je me fais des films dans ma tête. Je ne tiendrais pas plus d'un mois dans cette situation, je ne pourrais pas continuer sans toi, reviens-moi ...



02/06/2011



J'ai trouvé cette fille, J., je ne ressens rien pour elle, mis à part une attirance physique, mais je lui mens, je luis dis que j'ai tant besoin de passer des moments avec elle... Mensonges ! je me sent mal de lui mentir ainsi, mais peut-être que les sentiments viendront avec le temps, mais en attendant, il n'y en a toujours qu'une dans ma tête. Je fais semblant, ça me fais mal à moi aussi, ça lui fera mal si on se sépare... Et maintenant ? Je suis réellement perdu ?!



Je ne suis même pas sur que cette solution soit la meilleure. Peu importe ce que je fais, c'est à toi que je pense, c'est toi qui omnibule mes pensées jours après jours, et j'ai beau être « En Couple » avec J., je lui mens, je mens à mes amis, je me mens à moi-même. As-tu réussi à m'oublier facilement ? Arrives-tu à l'aimer autant que tu as pu m'aimer ? Si c'est le cas, cela veut-il dire que tu ne m'aimes pas, ou pas autant que j'ai pu t'aimer ? Voilà qui décrit bien mes pensées. Cet univers sur-commercialisé que l'homme à lui-même construit et qui nous fais courir à notre propre destruction me dépasse complètement. Je me fiche de la crise économique, la famine, la guerre ; Pour moi, le plus important reste d'un jour pouvoir te récupérer. Pour le moment, je vais tenter cette relation perdu d'avance, peut-être te permettra t'elle de quitté mon esprit...



07/08/2011




Comme prévu, J. et moi ne sommes plus ensemble. Je ne suis pas déçu. Dans un sens, je ne l'aimais pas, elle ne m'aimait pas, c'est bien mieux ainsi.



Je fête aujourd'hui mes 19 ans, et une fois de plus tu n'es pas là, tu n'es plus là. J'ai rêvé que tu frappais à ma porte, m'embrassais et me disais au coin de l'oreille un « Je t'aime » qui me parut être le plus doux que j'ai pu entendre. C'était un rêve tellement intense, quand je me suis réveillé mon c½ur battait à m'en sortir de la poitrine, je souffrais énormément, j'avais des difficultés à respirer. Quant j'ai voulu me relever, j'avais dans le creux de ma main droite la bague que j'avais prévu de t'offrir pour nos trois mois. Je me suis mis à pleurer, le jour de mes 19 ans, en me disant que je devrait être à la place de cet homme avec qui tu t'es fiancée, que j'aurai du être celui qui te fais sourire, j'aurai voulu être celui dont la simple présence dans ta vie te fais savourer chaque instant de ta vie, j'aurai voulu être celui qui te ferai portait une grande robe blanche et qui te ferai les plus beaux des enfants... bon d'accord, je m'emporte un peu, mais dans un sens c'est un peu ça. A aucun moments depuis que tes lèvres ont effleurés les miennes, je n'ai pu m'imaginer avec une autre que toi, tu es celle avec qui je veux finir mes jours.





28/09/2011



Elle a repris contact. Je ne pense pas pouvoir espérer quoique ce soit. Je ne pense pas qu'elle l'a fais pour me laisser une chance de faire renaitre notre amour, je pense qu'elle veut seulement que l'on redeviennent amis, rien de plus. Dans un sens je suis heureux, ça me permet de récupérer une partie de moi-même. De vivre à nouveau des moments magiques comme seul elle et moi pouvions en vivre, mais suis-je réellement capable de le supporter ? Pourrai-je la côtoyer à nouveau sans regretter constamment mes mauvaises décisions ? Je ne peux même pas imaginer cette situation. Peut-être y arriverai-je facilement. Peut-être ne supporterai-je pas du tout cette situation ... Peut-être ferai-je des efforts pour ne pas la perdre à nouveau. Si ça se trouve, elle ne veut même pas renouer d'amitié. Elle n'est peut-être revenue que pour clarifier la situation. Et si... Et si elle voulait me laisser une seconde chance ? Et si elle aussi ressentait cette même sensation de besoin de l'autre ? Dois-je rester le seul à aimer ? Le pardon fait-il parti de sa décision de revenir vers moi ? je ne sais pas, je ne sais plus, je ne serai peut-être même jamais. Une chose est sûre : si elle revient, elle sera heureuse. Je ferai tout pour son bonheur, son bonheur est le mien. Je la traiterai comme une reine. Je ferai tout pour elle, je n'ai plus peur, j'ai compris la leçon. Il n'y en a qu'une seule qui m'intéresse, et c'est elle. Je l'ai fais souffrir, mais après tout, « L'homme est un loup pour l'homme », le pardon, la rédemption, voilà qui nous sépare de l'animal.



04/11/2011



Nous venons de passé un moment ensemble. Nous nous sommes raconté notre dernière année et demi. Je ne vais pas raconter ce qu'elle m'a dit, c'est sa vie, ça lui appartient, mais pour résumer, elle n'est plus fiancée. Elle n'a vraiment pas eût de chance, elle m'a eût moi, puis l'autre qui l'a prise pour une conne. Je me sens fautif, plus que jamais. Si je ne l'avais pas quittée stupidement, elle ne serait pas sorti avec lui et n'aurai pas connu cette souffrance inutile. Quant à moi, je n'aurai surement pas aussi mal tourné, je ne me serais pas autant enfermé sur moi-même. Je me suis souvent, très souvent interrogé sur la façon dont ma vie se serait déroulée si je ne l'avais pas quittée, mais maintenant je passe mes journées à penser que ma décision à provoquer sur elle toutes sortes d'évènements néfastes dont je suis le seul et unique responsable. Je pensais lui avoir causé de la peine, mais c'est encore pire, ma décision à provoquer un effet boule de neige dans ma vie, et aussi et surtout dans la sienne. Je ne pourrais plus la récupérer, il est trop tard, j'ai trop fait de dégâts, dans sa vie, dans la mienne, dans celle de mon entourage. Elle ne voudra plus de moi, ça me fait mal, mais c'est ainsi, je suis contraint de vivre seul, sans elle, sans personne, car quoiqu'il arrive, c'est Elle, et pas une autre.
 
Tuesday, the 15th of November 2011.
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#Posté le lundi 28 novembre 2011 17:16

Modifié le lundi 13 février 2012 16:54

# Article Cinquante. (50)

 # Article Cinquante. (50)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Savouré votre liberté, jusqu'à ce que la dernière goute de votre sang n'est coulée. [...]



Une petite fille regarde dans la rue les gens qui passent. Ils sont stressés, pressés. Elle trouve qu'ils ne prennent pas le temps de vivre et d'observer ce qui les entoure. Ils ne voient ni les saisons qui défilent, ni les odeurs que l'on peut sentir au gré du vent, ni les paysages que nous offre la terre. Avez-vous déjà vu beaucoup de personnes se promener dans la ville en souriant, sans leurs portables, sans but précis, sans endroit où aller, marchant juste pour le plaisir ou pour réfléchir à ce qu'ils attendent de la vie ? La gamine ne veut pas leur ressembler alors elle décide d'en profiter. Elle ferme les yeux et goûte avec délectation les rayons du doux soleil d'hiver. Elle rempli ses poumons d'air, cet air humide et frais qui n'appartient qu'à la Normandie. La petite entend de l'eau qui coule, elle s'approche d'une fontaine qui a comme statue un homme et une femme enlacés. Elle se couche sur son rebord et se laisse bercer par ce bruit délicieux. Parfois une goutte d'eau tombe avec désinvolture sur le marbre blanc et elle rend alors transparent. Des petits oiseaux aux plumes libres s'y posent pour boire et tremper leurs orteils. La gamine au c½ur léger à moitié partie dans ses rêves les imite et rit au contact du liquide froid et irréel. Les passants la regardent, interloqués par ce petit bout d'être humain libéré de toutes contraintes et de toutes obligations ; mais au bout de quelques secondes, ils finissent par la mépriser, avec ses yeux rieurs, sa bouche souriante et ses mouvements fluides.

Mais elle, elle ne les regarde pas, d'ailleurs qu'aurait-elle à faire de ces yeux dénués de sensibilité ? Elle se lève et colle son nez réchauffé par son innocence aux vitrines décorées de milliers de couleurs pour Noël : des peluches aux sourires angéliques, des oursons marrons ou beiges préparés à être, la nuit, serrés dans les bras des petits endormis ; des poupées multicolores prêtes à raconter des histoires et à écouter ; des costumes de princesses et de princes charmants n'attendant que de pouvoir aider à créer un univers inventé de la bouche imaginative d'un enfant. La jeune observatrice rentre dans un grand magasin. Un torrent de chaleur l'envahit. Mais malgré la vitrine prometteuse de rêves, ici encore les clients se bousculent, grognent à la caisse, ne trouvent pas ce qu'ils veulent ... Et pourtant qu'il y a de belles choses !



Tout à coup, elle aperçoit le père noël. D'un pas décidé elle s'avance vers lui, va s'asseoir sur ses genoux et elle dit :

« - Dîtes-moi monsieur, vous qui visitez la terre entière, existe-t-il un endroit, même minuscule où les gens peuvent être heureux et où ils ne se compliquent pas la vie pour des problèmes qui n'en sont peut-être pas ?

- Pourquoi cette question saugrenue petite ? demande-t-il, à la fois moqueur et intrigué.

- Monsieur je suis sérieuse alors répondez à ma question ! dit-elle l'air buté en croisant les bras.

- Ah haha ! Comme tu es drôle avec ta bouille ronde et ton air d'enfant qui essaye d'être sérieux ! Tu t'exprimes très bien pour une petite fille de ton âge. Ouvre l'oreille petite, je vais te confier un secret, dit-il en baissant la voix. Tout le monde court après le bonheur tout au long de sa vie, mais en se forçant à vouloir le trouver, on lui passe à côté de justesse, car le bonheur aime les gens simples, qui sont généreux et aimants ...

- Mais c'est quoi le bonheur, l'interrompt-elle mais buvant ses paroles, tu l'as vu toi ?

- Peut-être bien, mais je n'y ai pas fait attention, stupide homme que je suis. Le bonheur est indéfinissable, cela peut se résumer à un instant ou à une période. Mais souviens-toi toujours que la vie est capricieuse et que comme dit le proverbe, « Après le calme vient la tempête ».

En tout cas une chose est sûr, la vie est précieuse, alors profites-en le plus possible car tu es jeune, à toi de construire ton avenir comme tu l'entends, ne laisse personne le faire à ta place.

Maintenant excuse-moi mais je dois y aller.

-Mais moi je ne veux pas que tu partes, dit-elle tout à coup triste, tu ne vas pas m'abandonner toi aussi !

- Comment cela toi aussi ? Mais j'y pense, où sont tes parents, demande-t-il, réalisant l'évidence qu'il n'avait pourtant pas vu.

- Pourquoi toutes les gentilles personnes que je rencontre me posent cette même question inutile ! crie-t-elle au bord des larmes. » Elle se faufile dans la foule et sort du magasin en courant.

« Attends petite reviens !" hurle-t-il désespérément, la perdant de vue.

En ouvrant la porte vers l'extérieur, la surprise envahit la gamine, car le ciel a changé de parure et est maintenant tout en nuances de rose et orange. Elle contemple les nuages suspendus dans ce ciel de fin de journée. Petit à petit les étoiles arrivent, discrètement, tandis que de son côté, le soleil a terminé son spectacle et laisse se place sur la scène à la lune pour la nuit. Au fur et à mesure que l'obscurité s'abat sur les restes du soleil couchant, la ville s'éclaire à travers les illuminations de noël. Les sapins retrouvent leur éclat qu'ils avaient perdu aux premières lueurs du jour.
Quand le ciel est devenu noir et que les diamants formant les étoiles se sont bien installés, la petite explore de ses yeux curieux de tout ces fines touches de cristal. Sur le pavé désert et humide d'une rue, elle se met à genoux et dit : « - Aujourd'hui ma prière ne parle pas de moi, mais des personnes qui ne prennent pas le temps de vivre, qui sont tête baissée dans leur vie quotidienne et qui en oublie l'essentiel. Je prie pour ces personnes de tout mon c½ur, et vous autres étoiles qui nous observez toutes les nuits, vous qui pouvez voir nos espoirs, nos rêves, leurs rêves ; je vous demande de leur venir en aide et de leur donner le goût de vivre autrement. Ah oui, et aussi une toute petite chose pour moi, si cela ne vous dérange pas, j'aimerais que vous me disiez ce que le mot Bonheur veut dire, parce que je l'entends tout le temps mais n'arrive à vraiment le comprendre, et je crois, d'ailleurs, d'après ce que j'ai vu aujourd'hui, que je ne suis pas la seule. Merci et à bientôt. »
 
Friday, the 10th of June 2011.
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#Posté le vendredi 10 juin 2011 09:01

# Article Quarante-Neuf. (49)

# Article Quarante-Neuf. (49)Passion amoureuse. [...]


Une jeune fille à la chevelure châtain était installée dans un jardin. Son jean était recouvert de paillettes dorées. Personne ne la regardait. Hélène était internée dans ce centre depuis plus de deux ans.
Tout autour d'elle, des infirmières, des adolescents bénévoles et des internes passaient. Personne ne la regardait. Comme une sorte de pantin, Hélène alla dans sa chambre. Elle enclencha un cd dans son baladeur et se mit sur son lit. Sa nuisette noire était tellement fine qu'elle devait mettre un soutien-gorge noir pour qu'on ne voie rien. Hélène prit un livre dans sa bibliothèque.
Avant qu'elle ne vienne ici, son beau-père avait profité d'elle et la traitait, tout le temps, de folle. Hélène ferma les yeux et s'endormit. Toutes les nuits, elle revoyait toutes les scènes de son existence. Et toutes les nuits, elle pleurait.
Le lendemain matin, la jeune fille se réveilla. Un des bénévoles était venu lui apporter ses médicaments. Docilement, Hélène prit les cachets.
Quelques minutes plus tard, Hélène se retrouva sur le banc et regarda les gens passer. Personne ne venait jamais la voir. Sa mère était beaucoup trop occupée et son beau-père la haïssait. Avant qu'elle ne soit internée dans ce centre, Hélène souffrait beaucoup.
Tout le monde se moquait d'elle. Aucune fille ne voulait être son amie. C'était pour cela qu'elle sombra dans la drogue à l'âge de treize ans, en plus de l'alcool, qu'elle avait commencé à boire à l'âge de huit ans.
Un jeune homme vint la voir. Il était bénévole au centre depuis quelques mois. Il connaissait tout le monde et s'était lié d'amitié avec la jeune fille. Un sourire se dessina sur le visage des deux adolescents.
- Salut, Ely.
- Bonjour, murmura la jeune fille.
- Est-ce que ça va mieux depuis hier?
- Oui.
- Tu ne veux pas parler?
Hélène se retourna et souria.
- Non, j'aime ta présence, c'est tout.
- Je t'adore, ma petite puce.
Les deux adolescents parlèrent pendant plusieurs minutes. Mais Bastian fut appelé ailleurs. Il déposa un baiser sur la joue douce de son amie avant de partir. La jeune fille porta sa main à sa joue et sourit. C'était la première fois qu'elle avait une marque d'amour. Hélène entra dans sa chambre et ne cessa de repenser à cet infime baiser que lui avait donné Bastian.
Pendant plusieurs jours, le jeune homme déposa un baiser sur la joue de sa très chère amie. Il la percevait comme telle. Une simple mais merveilleuse amie.
Le soir, lorsqu'il rentrait dans son appartement, qu'il partageait avec sa petite amie, il repensait aux regards flambant de sa chère Hélène. Parfois, il en parlait avec Mia, sa petite amie. Cette dernière était toujours ravie d'entendre les dernières nouvelles.
Mais un jour, Bastian parla de Mia à Hélène. Cette dernière ne montra pas son désespoir et fit tout pour montrer une réjouissance lascive devant les autres personnes du centre. Elle rentra bien plus tôt dans sa chambre que d'habitude. Une infirmière vint lui apporter son repas et ses cachets. Après avoir à peine entamé son dîner, Hélène se leva de son lit.
Elle ouvrit une petite boîte posée sous son lit. A l'intérieur se trouvait des médicaments multicolores, retranchés dans des petits compartiments en plastique. Les noms des médicaments avaient été inscrits sur les petits compartiments.
Hélène prit une poignée de somnifères. Elle contempla longuement les petits cachets avant de les ingurgiter avec lenteur. Elle prit un verre d'eau et se coucha sur son lit. La jeune fille s'endormit lentement, pour ne plus jamais se réveiller...
Aucun pensionnaire, infirmier, médecin ou bénévole ne sut la raison du suicide de Hélène. Bastian n'eut même pas d'idée sur la mort de sa chère amie...

Monday, the 30th of May 2011.
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#Posté le lundi 30 mai 2011 09:38

Ses archives (46)

  • # Article Quarante-Huit. (48) mar. 24 mai 2011
  • # Article Quarante-Sept. (47) mar. 24 mai 2011
  • # Article Quarante-Six. (46) lun. 23 mai 2011
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